Fin de vie commerciale de Windows 7
A compter du 1er novembre, les constructeurs et assembleurs ne pourront plus commercialiser de PC sous Windows 7 (éditions Home Basic, Home Premium et Ultimate). La version Pro de l’OS n’est pas concernée.
Windows 7, l’OS le plus installé parmi le parc de machines Windows, arrive en fin de cycle, mais pas encore en fin de support (le support étendu se prolongera jusqu’en janvier 2020). Après la fin de la commercialisation en boîte de Windows 7, ce sont les licences OEM – c’est-à-dire les versions préinstallées sur les PC – qui s’arrêteront.
Malgré un léger flottement en 2013, cette échéance était déjà connue. Ainsi après le 31 octobre 2014, les constructeurs PC et assembleurs ne pourront plus se procurer de nouvelles licences OEM de Windows 7 auprès de Microsoft.
Les droits au "downgrade" maintenus
Précisions cependant : sont concernées les éditions Home Basic, Home Premium et Ultimate de Windows 7. Naturellement, les fabricants pourront continuer d’écouler leurs stocks de PC équipés de l’OS. C’est l’acquisition de nouvelles licences qui ne sera plus possible.
Par ailleurs les éditions Pro et Entreprise de Windows 7 ne sont elles pas affectées. Les entreprises pourront donc continuer, par exemple dans le cadre du renouvellement de leurs postes de travail, de s’équiper en PC sous Windows 7. Concernant l’arrêt de Windows 7 Pro, Microsoft a précisé cette semaine encore qu’aucune date n’était encore définie.
A noter que cette échéance n’a aucun impact sur le support de l’OS. Pour Windows 7 SP1, celui-ci est garanti jusqu’au 13 janvier 2015. Les mises à jour de sécurité, gratuites, seront assurées jusqu’au 14 janvier 2020 – et peut-être au-delà si comme Windows XP, Microsoft décidait d’une extension.
Quant au droit pour les utilisateurs des éditions Pro de Windows, ils disposent toujours de la possibilité de rétrograder vers une version antérieure de l’OS. A titre d’exemple, l’acquéreur d’un PC sous Windows 8.1 Pro peut revenir à Windows 7 Pro ou Vista Business – ce droit s’applique aussi aux clients des licences en volume. »
Malgré un léger flottement en 2013, cette échéance était déjà connue. Ainsi après le 31 octobre 2014, les constructeurs PC et assembleurs ne pourront plus se procurer de nouvelles licences OEM de Windows 7 auprès de Microsoft.
Les droits au "downgrade" maintenus
Précisions cependant : sont concernées les éditions Home Basic, Home Premium et Ultimate de Windows 7. Naturellement, les fabricants pourront continuer d’écouler leurs stocks de PC équipés de l’OS. C’est l’acquisition de nouvelles licences qui ne sera plus possible.
Par ailleurs les éditions Pro et Entreprise de Windows 7 ne sont elles pas affectées. Les entreprises pourront donc continuer, par exemple dans le cadre du renouvellement de leurs postes de travail, de s’équiper en PC sous Windows 7. Concernant l’arrêt de Windows 7 Pro, Microsoft a précisé cette semaine encore qu’aucune date n’était encore définie.
A noter que cette échéance n’a aucun impact sur le support de l’OS. Pour Windows 7 SP1, celui-ci est garanti jusqu’au 13 janvier 2015. Les mises à jour de sécurité, gratuites, seront assurées jusqu’au 14 janvier 2020 – et peut-être au-delà si comme Windows XP, Microsoft décidait d’une extension.
Quant au droit pour les utilisateurs des éditions Pro de Windows, ils disposent toujours de la possibilité de rétrograder vers une version antérieure de l’OS. A titre d’exemple, l’acquéreur d’un PC sous Windows 8.1 Pro peut revenir à Windows 7 Pro ou Vista Business – ce droit s’applique aussi aux clients des licences en volume. »